Il existe quatorze écoles publiques qui forment aux métiers du journalisme en France. Leurs diplômes sont reconnus par l'Etat et la profession.
- le CELSA à Paris
- CFJ Paris : Centre de Formation des Journalistes
- CUEJ : Centre Universitaire d’Enseignement du Journalisme de Strasbourg
- EDC : Ecole de journalisme de Cannes (IUT Nice Côte d'Azur)
- EJDG : École de Journalisme de Grenoble
- EJCAM : École de Journalisme et de Communication d'Aix-Marseille
- Ecole de journalisme de Sciences Po
- EJT : École de Journalisme de Toulouse
- EPJT Tours : IUT
- IJBA : Institut de Journalisme de Bordeaux Aquitaine.
- IPJ : Institut Pratique du Journalisme de l'Université Paris-Dauphine
- ESJ : Ecole Supérieure de Journalisme de Lille
- IUT Lannion
- IFP : Panthéon : Institut Français de presse, Master de journalisme
Crédit photo : Groupe Etablières
Pour y accéder, il faut passer un concours écrit et un entretien oral. Les candidatures sont nombreuses et les places peu nombreuses : à l'EJCM à Marseille, on compte 20 places pour 500 candidats. Les formations sont accessibles à partir d'un bac +0 ou d'un bac +3. L'étudiant choisit sa licence puis s'inscrit à un ou plusieurs masters de Journalisme.
Le concours
Le journaliste à une solide culture générale. C'est pour cela que beaucoup d'étudiants passent pas une préparation publique ou privée afin de se préparer. Il faut également connaître l'actualité sur le bout des doigts. Qui est le premier ministre israélien ? Quel acteur a été sacré "Meilleur espoir masculin" lors de la dernière éditions des Césars du cinéma ? L'anglais est également un pilier central des examens. En effet, le journaliste à vocation à rechercher des informations sur diverses plateformes et peut être amené à voyager à l'étranger. Et pour finir, veillez à votre écriture. Les examinateurs ne sélectionnent que les candidats qui ont une belle plume et une écriture concise. Que ce soit en radio, en télévision ou en presse écrite, l'écriture est la base de tout travail journalistique.